Séances de rétroaction sur la violence basée sur le genre et la violence à l’égard des femmes

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Les membres du groupe consultatif sur la VBG-VFF

Mot de bienvenue

Le groupe consultatif sur la violence basée sur le genre (VBG) et la violence à l’égard des femmes (VFF) du Bureau de la sécurité et du bien-être dans les collectivités (SBEC) a été créé pour donner des conseils sur la mise en œuvre d’un impact collectif et d’un processus participatif et sur l’élaboration d’un plan d’action collectif complet. La composition du groupe consultatif sur la VBG-VFF comprend des représentants des organisations et de réseaux communautaires travaillant dans le secteur de la VBG, d’experts de la VBG ou de personnes ayant une expérience vécue. Les organismes membres du groupe consultatif sur la VBG-VFF sont la Ville d’Ottawa, Services pour femmes immigrantes d’Ottawa (SPFIO), la Coalition d’Ottawa contre la violence faite aux femmes (COCVFF), la Maison Interval d’Ottawa, le Centre des ressources de l’Est d’Ottawa (CREO), le Centre d’aide aux victimes de viol d’Ottawa, Planification des naissances d’Ottawa, Service familial et counseling Ottawa (SFC Ottawa), et Project Agape.

La prochaine priorité du groupe consultatif sur la VBG-VFF est d’instaurer et de mettre en œuvre un plan d’action triennal sur la VBG-VFF qui soit solide, dirigé par la communauté et le secteur, et qui aborde les priorités liées à la VBG qui ont émergé des consultations communautaires. Ce plan définira les étapes suivantes pour la priorité de la VBG-VFF du Plan de sécurité et de bien-être dans les collectivités (SBEC).

Afin d’améliorer le développement et la mise en œuvre d’un plan d’action triennal sur la VBG‑VFF, la COCVFF organisera des séances de rétroaction communautaire afin de mobiliser davantage le secteur de la VBG.

Les séances de Participons Ottawa visent à :

  • faire participer les communautés touchées à l’élaboration de la réponse d’Ottawa à la VBG dans le cadre du Plan de SBEC;
  • cerner les lacunes systémiques et les possibilités dans les stratégies de prévention de la VBG et d’intervention contre celle-ci menées par la Ville;
  • garantir la responsabilité et la transparence en faisant entendre la voix des survivants et en tenant compte des priorités de la communauté dans le processus décisionnel municipal.

Contexte

Le premier Plan de sécurité et de bien-être dans les collectivités de la Ville (ACS2021-EPS-PPD-0003(Liens externes)) a été approuvé le 27 octobre 2021 et mis à jour le 3 octobre 2024 (ACS2024-CSS-GEN-012(Liens externes)).

À la suite du processus de consultation auprès des résidents, sept domaines prioritaires ainsi que des objectifs, des stratégies et des résultats pour répondre à ces priorités ont été établis et approuvés par le Conseil :

  • Discrimination, marginalisation et racisme
  • Sécurité financière et réduction de la pauvreté
  • Violence basée sur le genre et violence à l’égard des femmes
  • Logement
  • Systèmes intégrés et simplifiés
  • Bien-être mental
  • Développement social des jeunes

La VBG est un problème pressant à Ottawa, qui touche de manière disproportionnée les femmes, les filles, les personnes bispirituelles et transgenres et les personnes aux diverses identités de genre, en particulier celles qui sont noires, autochtones, racisées ou handicapées, les nouveaux arrivants et les personnes membres de la communauté 2SLGBTQ+. Le Plan de SBEC reconnaît le besoin urgent d’une réponse coordonnée et communautaire à la VBG qui veille à ce que les politiques, les services et les décisions de financement reflètent les besoins et les expériences vécues des survivants et des organisations de première ligne.

Qu'est-ce que la violence fondée sur le genre (VFG)?

La violence fondée sur le genre (VFG) désigne des actes nuisibles dirigés contre des individus en raison de leur genre, de leur identité de genre ou de leur expression de genre perçue. Ancrée dans des dynamiques de pouvoir inégales, la discrimination systémique et les normes sociales, la VFG renforce les inégalités de genre et affecte de manière disproportionnée les femmes, les filles, les personnes bispirituelles, trans, non binaires et de divers genres.

La VFG peut se produire à domicile, au travail, en ligne, dans les institutions et dans les espaces publics, violant ainsi les droits humains et constituant un obstacle majeur à l’égalité des genres et à la justice sociale.

Exemples de violence fondée sur le genre :

  • Violence physique
    1. Exemple : Violence conjugale – Agression physique par un partenaire ou féminicide.
  • Violence sexuelle et harcèlement
    1. Exemple : Viol – Actes sexuels forcés, y compris le viol conjugal.
    2. Exemple : Harcèlement en milieu de travail – Avances sexuelles non désirées.
  • Violence psychologique et émotionnelle
    1. Exemple : Contrôle coercitif – Restrictions sur l’autonomie et les relations personnelles.
  • Violence économique
    1. Exemple : Contrôle financier – Empêcher l'accès à l'argent ou à un emploi.
  • Violence institutionnelle et structurelle
    1. Exemple : Obstacles aux soins de santé – Refus de soins affirmant le genre.
  • Violence en ligne et facilitée par la technologie
    1. Exemple : Partage non consensuel d’images intimes – Diffusion de photos sans consentement.
    2. Exemple : Cyberharcèlement – Traque et harcèlement en ligne.

Si vous avez besoin de soutien dès maintenant

Les membres du groupe consultatif sur la VBG-VFF

Mot de bienvenue

Le groupe consultatif sur la violence basée sur le genre (VBG) et la violence à l’égard des femmes (VFF) du Bureau de la sécurité et du bien-être dans les collectivités (SBEC) a été créé pour donner des conseils sur la mise en œuvre d’un impact collectif et d’un processus participatif et sur l’élaboration d’un plan d’action collectif complet. La composition du groupe consultatif sur la VBG-VFF comprend des représentants des organisations et de réseaux communautaires travaillant dans le secteur de la VBG, d’experts de la VBG ou de personnes ayant une expérience vécue. Les organismes membres du groupe consultatif sur la VBG-VFF sont la Ville d’Ottawa, Services pour femmes immigrantes d’Ottawa (SPFIO), la Coalition d’Ottawa contre la violence faite aux femmes (COCVFF), la Maison Interval d’Ottawa, le Centre des ressources de l’Est d’Ottawa (CREO), le Centre d’aide aux victimes de viol d’Ottawa, Planification des naissances d’Ottawa, Service familial et counseling Ottawa (SFC Ottawa), et Project Agape.

La prochaine priorité du groupe consultatif sur la VBG-VFF est d’instaurer et de mettre en œuvre un plan d’action triennal sur la VBG-VFF qui soit solide, dirigé par la communauté et le secteur, et qui aborde les priorités liées à la VBG qui ont émergé des consultations communautaires. Ce plan définira les étapes suivantes pour la priorité de la VBG-VFF du Plan de sécurité et de bien-être dans les collectivités (SBEC).

Afin d’améliorer le développement et la mise en œuvre d’un plan d’action triennal sur la VBG‑VFF, la COCVFF organisera des séances de rétroaction communautaire afin de mobiliser davantage le secteur de la VBG.

Les séances de Participons Ottawa visent à :

  • faire participer les communautés touchées à l’élaboration de la réponse d’Ottawa à la VBG dans le cadre du Plan de SBEC;
  • cerner les lacunes systémiques et les possibilités dans les stratégies de prévention de la VBG et d’intervention contre celle-ci menées par la Ville;
  • garantir la responsabilité et la transparence en faisant entendre la voix des survivants et en tenant compte des priorités de la communauté dans le processus décisionnel municipal.

Contexte

Le premier Plan de sécurité et de bien-être dans les collectivités de la Ville (ACS2021-EPS-PPD-0003(Liens externes)) a été approuvé le 27 octobre 2021 et mis à jour le 3 octobre 2024 (ACS2024-CSS-GEN-012(Liens externes)).

À la suite du processus de consultation auprès des résidents, sept domaines prioritaires ainsi que des objectifs, des stratégies et des résultats pour répondre à ces priorités ont été établis et approuvés par le Conseil :

  • Discrimination, marginalisation et racisme
  • Sécurité financière et réduction de la pauvreté
  • Violence basée sur le genre et violence à l’égard des femmes
  • Logement
  • Systèmes intégrés et simplifiés
  • Bien-être mental
  • Développement social des jeunes

La VBG est un problème pressant à Ottawa, qui touche de manière disproportionnée les femmes, les filles, les personnes bispirituelles et transgenres et les personnes aux diverses identités de genre, en particulier celles qui sont noires, autochtones, racisées ou handicapées, les nouveaux arrivants et les personnes membres de la communauté 2SLGBTQ+. Le Plan de SBEC reconnaît le besoin urgent d’une réponse coordonnée et communautaire à la VBG qui veille à ce que les politiques, les services et les décisions de financement reflètent les besoins et les expériences vécues des survivants et des organisations de première ligne.

Qu'est-ce que la violence fondée sur le genre (VFG)?

La violence fondée sur le genre (VFG) désigne des actes nuisibles dirigés contre des individus en raison de leur genre, de leur identité de genre ou de leur expression de genre perçue. Ancrée dans des dynamiques de pouvoir inégales, la discrimination systémique et les normes sociales, la VFG renforce les inégalités de genre et affecte de manière disproportionnée les femmes, les filles, les personnes bispirituelles, trans, non binaires et de divers genres.

La VFG peut se produire à domicile, au travail, en ligne, dans les institutions et dans les espaces publics, violant ainsi les droits humains et constituant un obstacle majeur à l’égalité des genres et à la justice sociale.

Exemples de violence fondée sur le genre :

  • Violence physique
    1. Exemple : Violence conjugale – Agression physique par un partenaire ou féminicide.
  • Violence sexuelle et harcèlement
    1. Exemple : Viol – Actes sexuels forcés, y compris le viol conjugal.
    2. Exemple : Harcèlement en milieu de travail – Avances sexuelles non désirées.
  • Violence psychologique et émotionnelle
    1. Exemple : Contrôle coercitif – Restrictions sur l’autonomie et les relations personnelles.
  • Violence économique
    1. Exemple : Contrôle financier – Empêcher l'accès à l'argent ou à un emploi.
  • Violence institutionnelle et structurelle
    1. Exemple : Obstacles aux soins de santé – Refus de soins affirmant le genre.
  • Violence en ligne et facilitée par la technologie
    1. Exemple : Partage non consensuel d’images intimes – Diffusion de photos sans consentement.
    2. Exemple : Cyberharcèlement – Traque et harcèlement en ligne.

Si vous avez besoin de soutien dès maintenant

  • Ce formulaire d’inscription permet de s’inscrire à la séance de rétroaction communautaire du 27 mars de 18 h 30 à 20 h 30 à 95 rue Clegg, Ottawa, ON, K1S 1C4.

    Veuillez noter que la COCVFF s’emploie avec diligence à créer un espace sécurisant, accueillant et inclusif pour les participants. 

    Pour nous assurer que notre démarche a été fructueuse, nous vous demandons de prendre trois minutes pour répondre aux quelques questions de nature démographique qui suivent la page d’inscription. La collecte de ces renseignements a pour seuls buts de garantir une représentation complète tandis que nous travaillons collectivement sur les priorités pour lutter contre la violence basée sur le genre dans notre communauté et de vérifier si nous avons réussi à atteindre notre objectif d’adopter une approche intersectionnelle. Toutes ces questions sont facultatives. Vous êtes libre d’y répondre à votre convenance.

    Maintien de la confidentialité et de la sécurité des survivants

    Garantir la sécurité, le respect de la vie privée et le bien-être des participants, en particulier des survivants, est une priorité absolue pour nous. Nous reconnaissons que le fait de parler d’expériences liées à la VBG peut être délicat, et nous nous engageons à créer un espace confidentiel, axé sur les survivants et tenant compte des traumatismes.

    Pour préserver la confidentialité, nous mettrons en œuvre les mesures de protection suivantes :

    • Options de participation anonyme – Les participants qui ne souhaitent pas parler publiquement de leurs expériences personnelles peuvent le faire par le biais de soumissions écrites anonymes.
    • Pas d’enregistrement ni de renseignements révélant l’identité – Les séances ne seront pas enregistrées et aucun renseignement révélant l’identité des participants (p. ex. noms, affiliations ou citations directes) ne sera communiqué dans les rapports sommaires ou les documents publics.
    • Accord de confidentialité – Les animateurs, les preneurs de notes et les représentants de la Ville devront adhérer à un protocole de confidentialité strict pour veiller à ce que toutes les discussions demeurent privées.
    • Animation tenant compte des traumatismes – Des animateurs formés orienteront les discussions en adoptant une approche fondée sur la réduction des préjudices et le consentement, ce qui permettra aux participants de parler de leurs expériences dans la mesure où ils sont à l’aise de le faire.
    • Personnel de soutien désigné – Une personne de soutien sera présente à chaque séance pour apporter une aide immédiate aux participants qui pourraient avoir besoin d’un soutien émotionnel.
    • Des espaces sûrs pour la mobilisation – Les séances se dérouleront dans des lieux sécurisés, accessibles et adaptés aux survivants, avec des possibilités d’entrée et de sortie discrètes pour ceux qui en ont besoin.

    Respect de la vie privée

    Les renseignements personnels sont recueillis pour faciliter l’inscription aux séances de rétroaction communautaire de la COCVFF, comme stipulé dans la structure de gouvernance du Plan de sécurité et de bien-être dans les collectivités approuvé par le Conseil le 27 avril 2022. 

    Les données sont confidentielles et ne seront pas conservées.

    Veuillez transmettre vos questions relatives à la collecte et à l’utilisation de vos renseignements personnels au Bureau de la sécurité et du bien-être dans les collectivités à l’adresse suivante : cswb/sbec@ottawa.ca(Liens externes).

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  • Ce formulaire d’inscription permet de s’inscrire à la séance de rétroaction communautaire le 1 avril de 18 h à 20 h à 2225 rue Mer-Bleue, Orléans, ON K4A 5M3.

    Veuillez noter que la COCVFF s’emploie avec diligence à créer un espace sécurisant, accueillant et inclusif pour les participants. 

    Pour nous assurer que notre démarche a été fructueuse, nous vous demandons de prendre trois minutes pour répondre aux quelques questions de nature démographique qui suivent la page d’inscription. La collecte de ces renseignements a pour seuls buts de garantir une représentation complète tandis que nous travaillons collectivement sur les priorités pour lutter contre la violence basée sur le genre dans notre communauté et de vérifier si nous avons réussi à atteindre notre objectif d’adopter une approche intersectionnelle. Toutes ces questions sont facultatives. Vous êtes libre d’y répondre à votre convenance.

    Maintien de la confidentialité et de la sécurité des survivants

    Garantir la sécurité, le respect de la vie privée et le bien-être des participants, en particulier des survivants, est une priorité absolue pour nous. Nous reconnaissons que le fait de parler d’expériences liées à la VBG peut être délicat, et nous nous engageons à créer un espace confidentiel, axé sur les survivants et tenant compte des traumatismes.

    Pour préserver la confidentialité, nous mettrons en œuvre les mesures de protection suivantes :

    • Options de participation anonyme – Les participants qui ne souhaitent pas parler publiquement de leurs expériences personnelles peuvent le faire par le biais de soumissions écrites anonymes.
    • Pas d’enregistrement ni de renseignements révélant l’identité – Les séances ne seront pas enregistrées et aucun renseignement révélant l’identité des participants (p. ex. noms, affiliations ou citations directes) ne sera communiqué dans les rapports sommaires ou les documents publics.
    • Accord de confidentialité – Les animateurs, les preneurs de notes et les représentants de la Ville devront adhérer à un protocole de confidentialité strict pour veiller à ce que toutes les discussions demeurent privées.
    • Animation tenant compte des traumatismes – Des animateurs formés orienteront les discussions en adoptant une approche fondée sur la réduction des préjudices et le consentement, ce qui permettra aux participants de parler de leurs expériences dans la mesure où ils sont à l’aise de le faire.
    • Personnel de soutien désigné – Une personne de soutien sera présente à chaque séance pour apporter une aide immédiate aux participants qui pourraient avoir besoin d’un soutien émotionnel.
    • Des espaces sûrs pour la mobilisation – Les séances se dérouleront dans des lieux sécurisés, accessibles et adaptés aux survivants, avec des possibilités d’entrée et de sortie discrètes pour ceux qui en ont besoin.

    Respect de la vie privée

    Les renseignements personnels sont recueillis pour faciliter l’inscription aux séances de rétroaction communautaire de la COCVFF, comme stipulé dans la structure de gouvernance du Plan de sécurité et de bien-être dans les collectivités approuvé par le Conseil le 27 avril 2022. 

    Les données sont confidentielles et ne seront pas conservées.

    Veuillez transmettre vos questions relatives à la collecte et à l’utilisation de vos renseignements personnels au Bureau de la sécurité et du bien-être dans les collectivités à l’adresse suivante : cswb/sbec@ottawa.ca(Liens externes).

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  • Ce formulaire d’inscription permet de s’inscrire à la séance de rétroaction communautaire le 9 avril de 12 h 30 à 2 h 30 à 115 rue Ritchie unité #9, Ottawa, ON K2B 8N6.

    Veuillez noter que la COCVFF s’emploie avec diligence à créer un espace sécurisant, accueillant et inclusif pour les participants. 

    Pour nous assurer que notre démarche a été fructueuse, nous vous demandons de prendre trois minutes pour répondre aux quelques questions de nature démographique qui suivent la page d’inscription. La collecte de ces renseignements a pour seuls buts de garantir une représentation complète tandis que nous travaillons collectivement sur les priorités pour lutter contre la violence basée sur le genre dans notre communauté et de vérifier si nous avons réussi à atteindre notre objectif d’adopter une approche intersectionnelle. Toutes ces questions sont facultatives. Vous êtes libre d’y répondre à votre convenance.

    Maintien de la confidentialité et de la sécurité des survivants

    Garantir la sécurité, le respect de la vie privée et le bien-être des participants, en particulier des survivants, est une priorité absolue pour nous. Nous reconnaissons que le fait de parler d’expériences liées à la VBG peut être délicat, et nous nous engageons à créer un espace confidentiel, axé sur les survivants et tenant compte des traumatismes.

    Pour préserver la confidentialité, nous mettrons en œuvre les mesures de protection suivantes :

    • Options de participation anonyme – Les participants qui ne souhaitent pas parler publiquement de leurs expériences personnelles peuvent le faire par le biais de soumissions écrites anonymes.
    • Pas d’enregistrement ni de renseignements révélant l’identité – Les séances ne seront pas enregistrées et aucun renseignement révélant l’identité des participants (p. ex. noms, affiliations ou citations directes) ne sera communiqué dans les rapports sommaires ou les documents publics.
    • Accord de confidentialité – Les animateurs, les preneurs de notes et les représentants de la Ville devront adhérer à un protocole de confidentialité strict pour veiller à ce que toutes les discussions demeurent privées.
    • Animation tenant compte des traumatismes – Des animateurs formés orienteront les discussions en adoptant une approche fondée sur la réduction des préjudices et le consentement, ce qui permettra aux participants de parler de leurs expériences dans la mesure où ils sont à l’aise de le faire.
    • Personnel de soutien désigné – Une personne de soutien sera présente à chaque séance pour apporter une aide immédiate aux participants qui pourraient avoir besoin d’un soutien émotionnel.
    • Des espaces sûrs pour la mobilisation – Les séances se dérouleront dans des lieux sécurisés, accessibles et adaptés aux survivants, avec des possibilités d’entrée et de sortie discrètes pour ceux qui en ont besoin.

    Respect de la vie privée

    Les renseignements personnels sont recueillis pour faciliter l’inscription aux séances de rétroaction communautaire de la COCVFF, comme stipulé dans la structure de gouvernance du Plan de sécurité et de bien-être dans les collectivités approuvé par le Conseil le 27 avril 2022. 

    Les données sont confidentielles et ne seront pas conservées.

    Veuillez transmettre vos questions relatives à la collecte et à l’utilisation de vos renseignements personnels au Bureau de la sécurité et du bien-être dans les collectivités à l’adresse suivante : cswb/sbec@ottawa.ca(Liens externes).

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Dernière mise à jour de la page: 19 mars 2025, 17h16