Stratégie de résilience climatique

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Le climat d’Ottawa évolue. Dans l’ensemble, le climat d’Ottawa est appelé à se réchauffer énormément et à devenir plus humide dans les décennies à venir : les pluies seront plus fortes et les jours de chaleur extrême, et les épisodes météorologiques extrêmes, tels que vents violents, inondations et tempêtes hivernales, devraient se multiplier. La Ville travaille à l’élaboration d’une stratégie de résilience climatique afin d’orienter la façon dont Ottawa peut se préparer et réagir aux répercussions prévues des changements climatiques.

La Stratégie de résilience climatique est l’une des huit priorités du Plan directeur sur les changements climatiques.


Pour lutter contre le changement climatique, la Ville d’Ottawa doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre tout en se préparant à faire face aux conséquences du climat changeant. Évolution énergétique est une stratégie de la Ville visant à atteindre l’objectif de zéro émission de gaz à effet de serre d’ici 2050. La Stratégie de résilience climatique vise à préparer Ottawa aux changements climatiques. Renseignez‑vous au sujet d’Évolution énergétique et des gestes que vous pouvez poser pour réduire vos émissions de gaz à effet de serre.


À quoi ressemblera le climat de demain à Ottawa et quels sont les risques?

Dans l’ensemble, le climat d’Ottawa est appelé à se réchauffer énormément dans les prochaines décennies : les pluies seront plus fortes et les épisodes météorologiques seront probablement plus violents. Apprenez‑en plus sur les changements climatiques qui devraient se produire à Ottawa et les répercussions qu’ils auront :


Pour élaborer une stratégie qui tient compte des points de vue et de la situation unique des résidents et résidentes d’Ottawa, nous avons besoin de vos commentaires. Voici les façons de vous impliquer :

  • Communiquez vos idées sur la façon dont nous pouvons tous nous préparer aux répercussions des changements climatiques.
  • Participez à un dialogue communautaire dans votre quartier.
  • Organisez votre propre dialogue sur le climat. Pour obtenir des ressources qui vous seront utiles, adressez‑nous un courriel : ChangementsClimatiques@ottawa.ca.
  • Consultez le Centre de ressources (à venir) pour obtenir plus de renseignements sur la préparation individuelle et communautaire aux changements climatiques.

Abonnez‑vous au bulletin d’information électronique sur les changements climatiques pour recevoir des nouvelles sur la Stratégie de résilience climatique et d’autres initiatives dans ce domaine.

Le climat d’Ottawa évolue. Dans l’ensemble, le climat d’Ottawa est appelé à se réchauffer énormément et à devenir plus humide dans les décennies à venir : les pluies seront plus fortes et les jours de chaleur extrême, et les épisodes météorologiques extrêmes, tels que vents violents, inondations et tempêtes hivernales, devraient se multiplier. La Ville travaille à l’élaboration d’une stratégie de résilience climatique afin d’orienter la façon dont Ottawa peut se préparer et réagir aux répercussions prévues des changements climatiques.

La Stratégie de résilience climatique est l’une des huit priorités du Plan directeur sur les changements climatiques.


Pour lutter contre le changement climatique, la Ville d’Ottawa doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre tout en se préparant à faire face aux conséquences du climat changeant. Évolution énergétique est une stratégie de la Ville visant à atteindre l’objectif de zéro émission de gaz à effet de serre d’ici 2050. La Stratégie de résilience climatique vise à préparer Ottawa aux changements climatiques. Renseignez‑vous au sujet d’Évolution énergétique et des gestes que vous pouvez poser pour réduire vos émissions de gaz à effet de serre.


À quoi ressemblera le climat de demain à Ottawa et quels sont les risques?

Dans l’ensemble, le climat d’Ottawa est appelé à se réchauffer énormément dans les prochaines décennies : les pluies seront plus fortes et les épisodes météorologiques seront probablement plus violents. Apprenez‑en plus sur les changements climatiques qui devraient se produire à Ottawa et les répercussions qu’ils auront :


Pour élaborer une stratégie qui tient compte des points de vue et de la situation unique des résidents et résidentes d’Ottawa, nous avons besoin de vos commentaires. Voici les façons de vous impliquer :

  • Communiquez vos idées sur la façon dont nous pouvons tous nous préparer aux répercussions des changements climatiques.
  • Participez à un dialogue communautaire dans votre quartier.
  • Organisez votre propre dialogue sur le climat. Pour obtenir des ressources qui vous seront utiles, adressez‑nous un courriel : ChangementsClimatiques@ottawa.ca.
  • Consultez le Centre de ressources (à venir) pour obtenir plus de renseignements sur la préparation individuelle et communautaire aux changements climatiques.

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  • Les principaux risques climatiques pour Ottawa

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    La Ville a entrepris une évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques afin de déterminer les principaux risques d’ordre climatique pour Ottawa. Il s’agit de la deuxième phase de l’élaboration de la Stratégie de résilience climatique.

    L’évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques s’appuie sur les projections climatiques élaborées en 2020 ainsi que sur les contributions et l’expertise du personnel de la Ville, des partenaires communautaires et du public. Elle vise à déterminer le degré de vulnérabilité d’Ottawa aux conditions climatiques changeantes et à établir des priorités quant aux mesures à prendre.

    Dans le cadre du projet, ont été évaluées près de 150 répercussions climatiques potentielles sur la santé, le bien‑être de la communauté, les infrastructures, l’environnement naturel et l’économie. Parmi ces répercussions climatiques potentielles, on a dégagé 40 risques prioritaires pour lesquels des mesures doivent être prises au cours des trois prochaines années. Il s’agit notamment de risques liés à l’augmentation des températures et des précipitations, ainsi qu’à une augmentation des épisodes météorologiques extrêmes tels que les inondations, les vents violents et les pluies verglaçantes.

    Parmi ces risques prioritaires, citons les suivants :

    • Augmentation des maladies liées à la chaleur.
    • Augmentation de la demande de climatisation des immeubles (surtout dans les bâtiments communautaires, comme les écoles, les logements des ménages à faible revenu et les foyers de soins de longue durée privés).
    • Augmentation du nombre d’espèces envahissantes, de parasites et de maladies nuisant aux arbres, aux espaces verts et à la production agricole.
    • Vecteurs de maladies nouveaux ou en plus grand nombre (p. ex., tiques porteuses de la maladie de Lyme, moustiques porteurs du virus du Nil occidental).
    • Augmentation des dommages causés aux routes, aux bâtiments et aux autres infrastructures en raison des cycles de gel-dégel et du verglas.
    • Dommages causés aux infrastructures et aux propriétés par les inondations dues aux fortes pluies et aux crues des rivières.
    • Augmentation des pressions sur la Ville et les services communautaires pour intervenir efficacement lors d’épisodes météorologiques extrêmes simultanés ou répétés.
    • Réduction de l’accès aux services essentiels pendant les épisodes météorologiques extrêmes, tels que l’électricité, les soins de santé, l’éducation, les banques alimentaires et les transports en commun.
    • Augmentation des difficultés pour les personnes à faible revenu ou les communautés défavorisées (santé physique, financière et mentale).


    Pour en savoir plus sur ces répercussions climatiques, consultez le rapport d’évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques (en anglais seulement) et l’annexe D (Vulnérabilités et risques climatiques par secteur) [en anglais seulement]. Un résumé des risques prioritaires est également disponible.

    L’évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques a été présentée au Comité permanent de la protection de l’environnement, de l’eau et de la gestion des déchets le 21 juin 2022 et au Conseil municipal le 6 juillet 2022. Vous pouvez regarder les enregistrements du Comité et du Conseil sur YouTube.

  • Ottawa en 2050 : Chaleur extrême

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    Le climat d’Ottawa se réchauffe déjà. Entre le milieu des années 1940 et le milieu des années 2010, la température moyenne d’Ottawa a augmenté de 1,3 degré Celsius.

    Cette tendance se poursuivra au cours des années à venir. Il fera plus chaud à Ottawa tout au long de l’année : les vagues de chaleur seront plus fréquentes et les jours de froid extrême moins nombreux.


    Ce à quoi nous nous attendons

    D’ici les années 2050, dans un scénario prévoyant de fortes émissions, la température de la région de la capitale nationale devrait, selon les projections, évoluer comme suit.

    • Augmentation des températures moyennes en toutes saisons – la température moyenne augmentera de 3,2 degrés Celsius.
    • Moins de froids extrêmes – le nombre de jours où la température est inférieure à -10 degrés Celsius diminuera de 35 %. Cela représente une diminution à 46 jours par année comparativement au nombre actuel de 71 jours.
    • Davantage de vagues de chaleur extrême – il y aura quatre fois plus de journées très chaudes dépassant les 30 degrés Celsius. Cela représente une augmentation à 43 jours par année, comparativement au nombre actuel de 11 jours.
    • Augmentation de l’humidex – le nombre de jours avec des niveaux élevés d’humidex va augmenter.
    • Sécheresse – plus de variabilité dans les précipitations et de risque de sécheresse.


    Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce à quoi vous devez vous attendre pour les années 2030 et 2080, consultez la synthèse de l’évolution du climat dans la région de la capitale nationale.


    Quels sont les principaux risques liés à la chaleur extrême et à la sécheresse?

    • Augmentation des maladies liées à la chaleur – la chaleur extrême peut provoquer de la déshydratation, de l’épuisement dû à la chaleur, des coups de chaleur et même la mort.
    • Diminution des activités récréatives en plein air et du transport actif – des étés plus chauds et plus humides pourraient entraîner une diminution des sports et des activités récréatives en plein air ainsi que l’annulation d’événements communautaires.
    • Augmentation de la demande de climatisation des immeubles – avec la hausse des températures, la demande de climatisation en été augmentera, ce qui entraînera une hausse des coûts énergétiques. Il pourrait également être nécessaire de rénover les bâtiments pour y ajouter un meilleur système de climatisation et de ventilation. Les bâtiments communautaires tels que les églises, les garderies ou les écoles pourraient être contraints de fermer temporairement pendant les vagues de chaleur extrême s’ils ne disposent pas d’une climatisation adéquate.
    • Augmentation de la demande de zones d’ombre et d’installations récréatives en intérieur et en extérieur pour fuir la chaleur.
    • Répercussions sur l’environnement naturel – la chaleur extrême et la sécheresse causent un stress supplémentaire sur nos écosystèmes. La prolifération d’algues est néfaste pour la santé des humains et entraîne la mise en vigueur d’interdiction de baignade.
    • Réduction des rendements agricoles et augmentation de l’irrigation – la chaleur extrême et la sécheresse créent des conditions agricoles difficiles et réduisent les récoltes.


    Pour en savoir plus sur les répercussions climatiques qui pèsent sur Ottawa, consultez l’évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques.


    Qui sont les personnes les plus vulnérables à la chaleur extrême?

    Les températures élevées peuvent mettre tout le monde en danger, surtout les personnes qui n’ont pas accès à la climatisation. Les risques pour la santé sont plus élevés pour les nourrissons, les personnes âgées, les personnes qui travaillent ou font de l’exercice en plein air, les personnes souffrant de problèmes de santé préexistants et les personnes en situation d’itinérance.

    La réduction de l’accès aux loisirs pourrait avoir des répercussions sur la santé mentale et le bien‑être des personnes et des familles qui pourraient se retrouver encore plus isolées si les activités de plein air gratuites ou peu coûteuses sont annulées.


    Comment pouvez-vous vous préparer?

    Nous avons tous un rôle à jouer dans la préparation aux conséquences des changements des schémas météorologiques et des événements extrêmes. Découvrez ce que vous pouvez faire et ce que la Ville fait en prévision des changements climatiques, et visitez le Centre de ressources (à venir) qui offre des ressources supplémentaires pour aider les communautés à se préparer aux changements climatiques.


    L’effet d’îlot thermique urbain

    Carte de la ville d’Ottawa avec couleurs dégradées indiquant la température de la surface du sol. Cette carte démontre que les rivières, les lacs, les espaces verts, les parcs, les espaces naturels et les zones aux surfaces claires (toits blancs, etc.) sont généralement plus frais. Les gros bâtiments aux toits sombres (centres commerciaux, édifices institutionnels, etc.), les grandes aires de stationnement et les pelouses artificielles absorbent et retiennent la chaleur. Ces zones sont ce que l’on appelle des îlots de chaleur urbains.

    L’effet d’îlot thermique urbain se manifeste lorsque la température des zones bâties est plus élevée que celles des zones avoisinantes. Les immeubles, les terrains de stationnement et les autres surfaces de couleur foncée retiennent la chaleur et deviennent plus chauds que les espaces verts, les aires d’eau et les zones rurales, à proximité. Durant la journée, la température moyenne annuelle de l’air d’une ville comptant un million de personnes ou plus peut se réchauffer d’un à trois degrés Celsius par rapport aux environs. Le soir, la différence peut atteindre jusqu’à 12 degrés Celsius.

    À l’aide des images satellitaires du 18 juillet 2019, soit une journée chaude où la température s’élevait à 27,3 degrés Celsius et où l’indice humidex était de 31, la Ville d’Ottawa, en partenariat avec Santé publique Ottawa, a créé deux cartes des îlots thermiques urbains :


    Les codes de couleurs affichent les variations des températures de surface, de 15 à 38 degrés Celsius, dans toute la ville. La carte indique où sont les zones froides, notamment la rivière des Outaouais et la rivière Rideau, ainsi que leurs affluents, la Ceinture de verdure, les espaces verts, les parcs, les espaces naturels, et les surfaces de couleur pâle, notamment les immeubles ayant un toit blanc. Les immeubles ayant un toit de couleur foncée (comme celui des grands bâtiments commerciaux et institutionnels), les terrains de stationnement et les gazons artificiels correspondent à des zones plus chaudes qui absorbent et retiennent la chaleur.

    Ces cartes indiquent les zones potentiellement à risque en raison des îlots thermiques urbains. Il existe d’autres facteurs de risque pour les individus, dont l’absence d’accès à un espace climatisé au travail, à l’école, à la maison et dans les déplacements, le fait de travailler ou de faire de l’activité physique à l’extérieur, l’âge et la présence de problèmes de santé.


    À quoi servent les cartes des îlots thermiques urbains?

    Les cartes des îlots thermiques nous permettent de constater comment nos choix d’utilisation du sol modifient la température de surface. Comme les températures devraient augmenter de 3,2 degrés Celsius d’ici 2050 et que le nombre de jours où la température est supérieure à 30 degrés Celsius devrait quadrupler pour atteindre 43 jours, les îlots thermiques accentuent les effets des épisodes de chaleur extrême. La chaleur extrême nous affecte tous, mais certaines personnes sont plus vulnérables au stress thermique, y compris les personnes très jeunes et très âgées, les personnes enceintes, les personnes ayant des problèmes de santé, les personnes qui travaillent à l’extérieur, les athlètes, les personnes en situation d’itinérance ou en situation de logement précaire, et celles qui n’ont pas facilement accès à la climatisation.

    Les cartes des îlots thermiques peuvent servir à orienter les politiques et la planification (ou l’aménagement) du milieu bâti. La protection des arbres ainsi que la plantation de ceux-ci font partie des stratégies visant à diminuer les températures de surface, tout comme l’ajout de végétation sur le toit des immeubles (et autour de ceux‑ci) et dans les stationnements, sans oublier l’intégration de parcs, d’espaces verts et de surfaces réfléchissantes telles que des toitures de couleur pâle.

  • Ottawa en 2050 : Changements de saisons

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    Les températures moyennes augmentent pour toutes les saisons, ce qui entraîne un changement de leurs caractéristiques typiques.

    Ce à quoi nous nous attendons

    D’ici les années 2050, dans un scénario prévoyant de fortes émissions, les saisons de la région de la capitale nationale devraient, selon les projections, évoluer comme suit.

    • Des printemps plus précoces – le dernier jour de gel printanier aura lieu deux semaines plus tôt.
    • Des automnes plus tardifs – le premier jour de gel automnal aura lieu trois semaines plus tard.
    • Des hivers plus courts – l’hiver sera plus court de cinq semaines.
    • Changement des cycles de gel‑dégel – les températures hivernales avoisineront plus fréquemment 0 degré Celsius à l’avenir. Les épisodes de gel‑dégel en hiver augmenteront de 33 %.
    • Diminution des chutes de neige – les chutes de neige totales annuelles diminueront de 20 %.
    • Une saison des neiges plus courte – la première chute de neige aura lieu plus tard dans l’année, et la dernière chute de neige sera plus précoce. Par conséquent, le nombre de jours d’enneigement devrait diminuer, passant de 115 à 72 jours.


    Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce à quoi vous devez vous attendre pour les années 2030 et 2080, consultez la synthèse de l’évolution du climat dans la région de la capitale nationale.


    Quels sont les principaux risques liés aux changements de saisons?

    • Augmentation du nombre d’espèces envahissantes, de parasites et de maladies nuisant à notre environnement naturel et aux zones agricoles.
    • Augmentation des cas de maladie de Lyme, de virus du Nil occidental et possiblement d’autres maladies, car les saisons prolongées et plus chaudes permettent une augmentation des populations de tiques et de moustiques. D’autres maladies qui ne sont pas actuellement répandues dans notre région pourraient également augmenter.
    • Augmentation des risques de glissades et de chutes lorsque les chaussées sont glacées en raison de l’augmentation des épisodes de gel‑dégel.
    • Dommages causés aux routes, aux bâtiments et aux autres infrastructures en raison de l’augmentation des cycles de gel‑dégel et des pluies verglaçantes, ce qui entraîne une augmentation des besoins d’entretien et des risques pour les usagers.
    • Plus de pressions sur les parcs et les plages en raison d’une utilisation accrue.
    • Déclin du tourisme et des loisirs d’hiver, car la diminution de la neige et les conditions plus chaudes réduisent les possibilités d’activités telles que le patinage, le ski et la raquette.


    Pour en savoir plus sur les répercussions climatiques qui pèsent sur Ottawa, consultez l’évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques.



    Qui sont les personnes les plus vulnérables?

    Les températures élevées mettent tout le monde en danger. Les personnes qui travaillent à l’extérieur ou qui passent beaucoup de temps en plein air sont exposées à un risque accru de contracter la maladie de Lyme et le virus du Nil occidental. Les piétons courent un risque accru de glissades et de chutes en raison de l’augmentation des conditions de verglas, ce qui pourrait également accroître l’isolement des personnes à mobilité réduite.


    Comment pouvez-vous vous préparer?

    Nous avons tous un rôle à jouer dans la préparation aux conséquences des changements des schémas météorologiques et des événements extrêmes. Découvrez ce que vous pouvez faire et ce que la Ville fait en prévision des changements climatiques, et visitez le Centre de ressources (à venir) qui offre des ressources supplémentaires pour aider les communautés à se préparer aux changements climatiques.

  • Ottawa en 2050 : Des précipitations plus intenses et des risques d’inondation

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    Ottawa a connu une augmentation des précipitations au cours des dernières décennies, en particulier au printemps et à l’automne. Ces tendances persisteront à mesure que notre climat se réchauffera. La quantité et l’intensité des pluies augmenteront, y compris pendant la saison hivernale.


    Ce à quoi nous nous attendons

    D’ici les années 2050, dans un scénario prévoyant de fortes émissions, les précipitations dans la région de la capitale nationale devraient, selon les projections, évoluer comme suit.

    • Augmentation des précipitations totales (sauf en été) – la quantité totale de précipitations (pluie et neige) augmentera de 8 % au printemps, en hiver et en automne. Cependant, la quantité de pluie en été (de juin à septembre) n’augmentera pas.
    • Les jours de pluie seront plus intenses – bien que le total des précipitations annuelles augmente, ces précipitations seront concentrées dans le même nombre de jours de pluie. La quantité maximale de précipitations tombant en un jour augmentera de 15 %.
    • Augmentation des pluies verglaçantes – les mois les plus froids verront probablement une augmentation des pluies verglaçantes en raison de la hausse du nombre de jours autour de 0 degré Celsius. La fréquence des pluies verglaçantes au printemps et à l’automne devrait diminuer.


    Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce à quoi vous devez vous attendre pour les années 2030 et 2080, consultez la synthèse de l’évolution du climat dans la région de la capitale nationale.


    Quels sont les principaux risques liés aux précipitations plus intenses et aux inondations?

    • Dommages causés par les inondations – des précipitations plus intenses peuvent submerger les réseaux d’égouts et augmenter le risque d’inondation dans nos rues et nos maisons. Les inondations continentales ou riveraines peuvent endommager ou réduire l’accès aux routes, aux transports en commun, aux sentiers, aux propriétés et aux autres infrastructures. L’augmentation des précipitations peut également endommager et submerger les infrastructures d’eaux pluviales, d’eaux usées et de protection contre les inondations.
    • Santé mentale, physique et financière – les inondations ont des répercussions négatives sur la santé des personnes directement touchées. Elles peuvent également provoquer des moisissures et contaminer les puits privés et les systèmes septiques.
    • Réduction des rendements agricoles – des précipitations plus variables et les risques d’inondation créent des conditions agricoles difficiles et réduisent les récoltes.
    • La section ci‑dessous présente d’autres risques des pluies verglaçantes et des épisodes météorologiques extrêmes.


    Pour en savoir plus sur les répercussions climatiques qui pèsent sur Ottawa, consultez l’évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques.


    Qui sont les personnes les plus vulnérables?

    Certaines personnes sont plus vulnérables face à l’augmentation des précipitations. Les communautés situées dans des secteurs propices aux inondations peuvent être affectées plus fréquemment ou plus gravement, ce qui rend la préparation et l’intervention en cas d’inondation plus difficiles. Les ménages à faible revenu et les autres ménages défavorisés sont particulièrement vulnérables. Les communautés qui comptent des puits privés et qui sont situées dans des secteurs propices aux inondations sont plus à risque de contamination de l’eau de puits et de dommages aux systèmes d’approvisionnement en eau causés par les inondations.


    Comment pouvez-vous vous préparer?

    Nous avons tous un rôle à jouer dans la préparation aux conséquences des changements des schémas météorologiques et des événements extrêmes. Découvrez ce que vous pouvez faire et ce que la Ville fait en prévision des changements climatiques, et visitez le Centre de ressources (à venir) qui offre des ressources supplémentaires pour aider les communautés à se préparer aux changements climatiques.


    Cartographie des zones inondables et changements climatiques

    Cartographie des zones inondables à Ottawa

    La cartographie des zones inondables indique les secteurs susceptibles d’être inondés en raison de la crue d’un cours d’eau. Une carte interactive des zones inondables, qui a été établie en s’appuyant sur la carte des risques d’inondation produite par les offices locaux de protection de la nature en collaboration avec la Ville d’Ottawa, est maintenant accessible. La carte montre trois différents phénomènes d’inondation :

    • une grande inondation, dont les probabilités sont de 2 % chaque année et la fréquence, d’une fois tous les 50 ans;
    • une inondation réglementaire, dont les probabilités sont de 1 % chaque année et la fréquence, d’une fois tous les 100 ans;
    • une inondation plus extrême qui pourrait se produire en raison des changements climatiques, dont la fréquence serait d’une fois tous les 350 ans.


    L’effet des changements climatiques sur l’ampleur et la probabilité des inondations futures est difficile à prévoir. Les projections climatiques locales établies pour la région de la capitale nationale indiquent des tendances au réchauffement des températures, à l’augmentation des quantités de pluie (y compris en hiver et au printemps), ainsi qu’à des précipitations plus intenses. Tout cela peut affecter le niveau et le débit des rivières. Le phénomène d’inondation à fréquence d’une fois tous les 350 ans a été sélectionné comme un phénomène de plus grande magnitude étant plus approprié pour évaluer les changements potentiels des risques et des dangers d’inondations riveraines dus aux changements climatiques.


    Objectif et utilisation de la cartographie des zones inondables

    La cartographie des zones inondables est essentielle pour une gestion efficace des risques d’inondation riveraine par la prévention ou la limitation des risques, la protection des personnes et des propriétés, la planification des mesures d’urgence et la préparation des interventions. Une gestion efficace des dangers et des risques implique souvent la combinaison de plusieurs mesures. La Ville, les offices de protection de la nature et les propriétaires ont tous un rôle à jouer dans la gestion des risques d’inondation. Selon le Plan officiel de la Ville, par exemple, pour tout nouvel aménagement dans une zone inondable à une fréquence d’une fois tous les 350 ans, il doit être démontré comment l’aménagement atténuera les risques d’inondations plus graves.


    En quoi ces cartes servent‑elles à élaborer la Stratégie de résilience climatique?

    Les cartes des zones inondables à fréquence d’une fois tous les 350 ans sont utilisées pour élaborer la Stratégie de résilience climatique. Les cartes peuvent être utilisées pour déterminer les communautés, les parcs et les infrastructures qui pourraient être touchés par des inondations plus graves. Les données ainsi recueillies servent, par exemple, à élaborer des plans visant à assurer la prestation continue des services dans les usines de purification de l’eau et de traitement des eaux usées de la Ville.

    Cliquez ici pour en savoir plus sur la cartographie des zones inondables.

  • Ottawa en 2050 : Épisodes météorologiques extrêmes

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    D’ici 2050, il y aura une probabilité accrue d’épisodes météorologiques extrêmes comme les inondations, les vagues de chaleur, les tempêtes de verglas et les vents violents.

    Le climat d’Ottawa devient de plus en plus variable et imprévisible. Ces dernières années, nous avons connu une augmentation des épisodes de chaleur, de vent, de pluie et de neige extrêmes. Voici des exemples d’épisodes météorologiques extrêmes qui se sont produits à Ottawa :

    • En janvier 1998, cinq tempêtes de verglas successives ont causé des dommages importants aux arbres et aux infrastructures électriques, ce qui a donné lieu à des pannes d’électricité généralisées et à l’interruption des activités sur tout le territoire d’Ottawa et dans la région pendant plusieurs semaines. Cette tempête se classe au deuxième rang des catastrophes naturelles les plus coûteuses de l’histoire du Canada, avec 2,3 milliards de dollars d’indemnités d’assurance.
    • En février 2016, une chute de neige avec une accumulation de plus de 50 cm s’est abattue sur la ville, ce qui a causé des fermetures dans l’ensemble de la ville et établi un nouveau record de la plus grosse chute de neige en une seule journée.
    • Au printemps 2017 et 2019, la rivière des Outaouais a provoqué d’importantes inondations, qui ont causé des dégâts matériels graves et des problèmes de santé.
    • Les tornades de 2018 et de 2019 ont causé des dommages matériels importants et des pannes d’électricité prolongées.
    • En juillet 2018, une vague de chaleur extrême s’est prolongée sur une durée de six jours. Le jour de la fête du Canada, à l’heure la plus chaude de la journée, la température ressentie selon le facteur humidex a atteint 47 degrés Celsius.
    • En mai 2022, le dérécho Ontario‑Québec a fauché la vie de 10 personnes, causé de vastes dégâts matériels et privé d’électricité pendant plusieurs jours des centaines de milliers de personnes à Ottawa. Cet épisode s’est classé au sixième rang des catastrophes naturelles les plus onéreuses financièrement dans les annales canadiennes.



    Ce à quoi nous nous attendons

    D’ici les années 2050, dans un scénario de fortes émissions, la situation devrait évoluer comme suit :

    • Des conditions favorables aux tempêtes de verglas ou aux tempêtes de neige violentes, aux tornades et aux rafales, aux sécheresses et aux feux de forêt.
    • Augmentation des pluies verglaçantes – les mois les plus froids verront probablement une augmentation des pluies verglaçantes en raison de la hausse du nombre de jours autour de 0 degré Celsius.


    Pour obtenir de plus amples renseignements sur ce à quoi vous devez vous attendre pour les années 2030 et 2080, consultez la synthèse de l’évolution du climat dans la région de la capitale nationale.


    Quels sont les principaux risques liés à l’augmentation des épisodes météorologiques extrêmes?

    • Augmentation de l’entretien hivernal des routes, des trottoirs et des sentiers en raison des cycles gel‑dégel et des pluies verglaçantes.
    • Augmentation des risques de glissades, de chutes et d’isolement en raison des chaussées glacées.
    • Réduction de la capacité des services municipaux et communautaires pour intervenir efficacement lors d’épisodes extrêmes simultanés ou répétés.
    • Pannes d’électricité prolongées lorsque les infrastructures électriques sont endommagées.
    • Réduction de l’accès aux services essentiels pendant les épisodes météorologiques extrêmes tels que les soins de santé, l’éducation, les banques alimentaires et les transports en commun, ce qui a des répercussions sur les résidents.


    Pour en savoir plus sur les répercussions climatiques qui pèsent sur Ottawa, consultez l’évaluation de la vulnérabilité et des risques climatiques.



    Qui sont les personnes les plus vulnérables?

    Les épisodes météorologiques extrêmes mettent tout le monde en danger, mais ils ont des répercussions disproportionnées sur des populations telles que les peuples autochtones, les personnes âgées, les personnes à faible revenu, les personnes en situation d’itinérance et les personnes racisées. L’accès aux routes et aux services publics des populations rurales plus éloignées pourrait être réduit. Les personnes en situation de handicap ou à mobilité réduite pourraient être confinées chez elles en attendant que les chaussées soient déneigées et déglacées. Les personnes vivant dans des communautés qui ont connu des situations d’urgence par le passé pourraient également ressentir plus d’anxiété.



    Comment pouvez‑vous vous préparer?

    Nous avons tous un rôle à jouer dans la préparation aux conséquences des changements des schémas météorologiques et des événements extrêmes. Découvrez ce que vous pouvez faire et ce que la Ville fait en prévision des changements climatiques, et visitez le Centre de ressources (à venir) qui offre des ressources supplémentaires pour aider les communautés à se préparer aux changements climatiques.

  • Ce que nous avons entendu jusqu’à présent

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    Alt text : Résultats du sondage sur la Stratégie de la résilience climatique. 92 % des répondants sont préoccupés par les changements climatiques. Ce qui les préoccupe le plus : les canicules, les changements du milieu naturel et les inondations. Les canicules, les changements du milieu naturel et les grands vents et tornades sont les impacts les plus courants vécus par les répondants.
    Nous remercions tous ceux et celles qui ont donné leur avis sur la Stratégie de résilience climatique. Dans le cadre des sondages, on nous a adressé plus de 500 réponses. Vous pouvez consulter la synthèse des réponses dans le rapport sur « Ce que nous avons entendu ». Le lecteur trouvera ci‑après les principales constatations. Il s’agit de la version à jour du rapport sur « Ce que nous avons entendu » publié en juin 2021.

    Voici les principales constatations tirées des réponses des résidents, des entreprises, des institutions et des organismes d’Ottawa :

    • 92 % des répondants sont très préoccupés ou préoccupés par les changements climatiques.
    • Les trois grands motifs d’inquiétude à propos des changements climatiques sont :
      • l’augmentation du nombre de canicules et du nombre de jours où il fait plus de 30 degrés Celsius (78 %);
      • les changements dans l’environnement naturel (71 %);
      • l’augmentation des risques d’inondation (70 %).
    • Les impacts le plus souvent évoqués par les répondants sont les canicules (77 %), les changements dans l’environnement naturel (50 %) et les vents violents ou les tornades (49 %).
    • Pour répondre à la question dans laquelle on les invitait à décrire les conséquences qu’ils subissaient, les répondants ont fait savoir que leur propriété, leur santé, leurs activités ou leur mode de vie sont pénalisés par les phénomènes météorologiques extrêmes (canicules, sécheresses, inondations, tornades et tempêtes de verglas), la maladie de Lyme et l’augmentation des températures en hiver.
    • Un peu plus de la moitié (50 %) des répondants ont affirmé qu’ils étaient très bien préparés ou assez bien préparés à affronter les impacts des changements climatiques. 31 % ont fait savoir qu’ils n’étaient pas préparés.
    • La protection contre les rayons du soleil et la climatisation des habitations sont les mesures que les répondants prennent déjà le plus souvent; vient ensuite la protection contre les tiques et les moustiques. Mettre au point un plan de préparation dans les cas d’urgence, rendre visite aux voisins pour savoir s’ils se portent bien pendant les canicules extrêmes et se protéger contre les tiques et les moustiques sont les mesures les plus courantes que les répondants prévoient de prendre.


    Nous avons tenu compte des avis exprimés dans les sondages qui se sont déroulés pendant l’évaluation de la vulnérabilité au climat et des risques climatiques, et nous nous en inspirerons pour éclairer la Stratégie de résilience climatique.

    Nous souhaitons que les résidents et les intervenants continuent de nous faire connaître leur avis à l’heure où nous mettons au point la Stratégie de résilience climatique. Nous vous invitons à continuer de participer à ces sondages et à rester au courant :

  • Que fait déjà la Ville pour s’adapter au changement climatique?

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    La Stratégie de résilience climatique de la Ville d’Ottawa examinera les répercussions du changement climatique, évaluera les facteurs de vulnérabilité de la ville et établira des priorités en matière de solutions. Depuis déjà de nombreuses années, la Ville tient compte des risques inhérents au changement climatique, notamment avec la mise en place des initiatives suivantes :

    • un plan de gestion des mesures d’urgence, afin de prévoir les besoins de la collectivité et d’y répondre en cas d’urgence majeure, comme une inondation, tout en veillant à continuer d’assurer les services essentiels;
    • des programmes d’information, de sensibilisation et d’intervention dans le domaine de la santé environnementale, afin de réduire les maladies et les décès liés au rayonnement UV, à la chaleur et à l’humidité extrêmes, au temps froid, à la piètre qualité de l’air (y compris les feux de forêt), aux inondations, à la maladie de Lyme et au virus du Nil occidental;
    • le nouveau Plan officiel (des politiques qui orientent l’aménagement de la ville) de la Ville et les documents complémentaires intègrent une optique relative au climat et à la santé afin de tenir compte de la résilience énergétique et climatique dans la croissance et le développement projetés de la ville. Le nouveau Plan officiel comprend diverses politiques d’atténuation du changement climatique et d’adaptation à ce changement, notamment des politiques visant à atténuer les effets des îlots thermiques urbains, réduire les risques dans les zones vulnérables aux inondations et à protéger nos espaces naturels et nos terres agricoles;
    • la sensibilisation des résidents sur le rapport entre la santé et l’environnement bâti et sur les gestes qu’ils peuvent poser pour contribuer à faire bouger les choses dans leur collectivité afin de devenir plus résilients face au changement climatique;
    • Cartes des îlots de chaleur en milieu urbain pour mieux comprendre les zones où il fait plus chaud et pour donner de l’information concernant les politiques de réduction des effets des îlots de chaleur en milieu urbain, afin de mieux protéger la santé du public;
    • le soutien des jardins communautaires et la promotion de la production alimentaire locale;
    • l’application de l’optique climatique dans la gestion des actifs et dans les projets d’immobilisations afin d’étoffer la résilience climatique des infrastructures existantes. Par exemple :
      • les nouveaux réseaux d’égouts de la Ville sont conçus pour recueillir des pluies plus fortes afin de réduire les risques d’inondation;
      • l’usine d’épuration des eaux usées de la Ville d’Ottawa est modernisée afin qu’elle puisse fonctionner indépendamment du réseau public et demeurer opérationnelle lors d’une panne prolongée de courant, grâce à la production d’électricité sur place;
      • l’utilisation d’un revêtement d’asphalte plus résistant aux variations de température pour les routes, les trottoirs et les parcs de stationnement;
      • le nouveau tunnel de stockage des égouts unitaires permettra de réduire considérablement la fréquence des surverses dans la rivière des Outaouais lors de tempêtes et le risque d’inondation de sous-sols dans les quartiers du centre-ville;
      • Des plans d’intervention en cas d’inondations sont en place dans les deux usines de purification d’eau de la Ville afin de protéger ces infrastructures essentielles dans l’éventualité où surviendraient des inondations le long de la rivière des Outaouais et d’ainsi assurer le maintien de notre approvisionnement en eau potable.
    • le développement de la forêt urbaine d’Ottawa et les mesures adoptées pour qu’elle soit plus saine, diversifiée et résiliente grâce au Plan de gestion de la forêt urbaine.
    • de l’aide accordée aux propriétaires résidentiels sous forme de subventions pour l’installation de clapets antiretour, dans le cadre du Programme d’installation de dispositifs protecteurs sanitaires résidentiels;
    • du soutien aux producteurs agricoles pour l’adoption de nouvelles technologies visant à protéger les sols et leur permettre de gérer les événements pluvieux variables grâce au Programme d’assainissement de l’eau en milieu rural;
    • la promotion de la durabilité et du renforcement de la résilience dans l’industrie agricole et agroalimentaire par l’innovation et le transfert de connaissances à la ferme intelligente d’Ottawa, dont l’objectif est de tirer parti de la technologie pour aider les producteurs à optimiser leurs efforts et à surmonter des difficultés telles que les changements dans les périodes de croissance et les phénomènes météorologiques extrêmes.
Dernière mise à jour de la page: 11 juil 2023, 14h31